Face à l’augmentation des plans sociaux et aux pressions exercées par certaines entreprises pour inciter leurs dirigeants à quitter leurs fonctions, la négociation de départ des cadres dirigeants est un levier essentiel pour protéger sa carrière. Spécialiste en rupture conventionnelle et licenciement négocié, CEG Avocat met au service de ses clients l’expertise unique de Maître Emmanuel Gautret, à la fois avocat au barreau de Paris et ancien DRH, afin de défendre leurs droits et maximiser leurs indemnités de départ.

CEG Avocat vous offre un accompagnement unique grâce à la double compétence de Maître Emmanuel Gautret

 

Le Cabinet Emmanuel Gautret (CEG Avocat) s’est spécialisé dans l’accompagnement des cadres dirigeants confrontés à une séparation avec leur employeur. Ce qui distingue le cabinet est la double compétence de son fondateur :

  • Avocat au barreau de Paris, Emmanuel Gautret apporte la maîtrise juridique indispensable pour défendre les droits des dirigeants dans des contextes complexes (rupture conventionnelle, licenciement négocié, protocole transactionnel, contentieux prud’homal).

  • Ancien DRH, il connaît de l’intérieur les pratiques des directions générales et des ressources humaines. Il sait anticiper leurs arguments, leurs contraintes budgétaires et leurs stratégies de négociation.

Cette double expertise, à la fois juridique et managériale , permet d’offrir aux dirigeants un accompagnement unique, associant rigueur juridique, compréhension du fonctionnement interne des entreprises et sens de la stratégie de négociation.

Un contexte économique actuel sous tension

 

L’année 2025 s’ouvre sur un climat économique incertain :

  • Le climat politique actuel est extrêmement incertain.
  • La croissance française ne devrait pas dépasser +0,5 % à +0,8 %, contre +1,1 % en 2024 (Source : Extencia).

  • De grands groupes industriels et commerciaux (Michelin, Auchan, secteur automobile) ont déjà annoncé des plans sociaux de grande ampleur (Le Monde).

  • Les défaillances d’entreprises ont atteint un niveau très élevé en 2024, avec plus de 60 000 procédures collectives ouvertes (Banque de France). Ces difficultés ne concernent pas seulement les salariés, mais touchent directement les dirigeants, qu’il s’agisse de chefs d’entreprise ou de cadres dirigeants confrontés à des restructurations et à des départs contraints.

  • L’attractivité internationale de la France recule : près d’un dirigeant étranger sur deux a reporté un projet d’investissement, jugeant le contexte trop instable (Étude EY, citée par Le Monde).

Dans ce climat, les départs de dirigeants sont plus fréquents, et souvent initiés par l’employeur.

Quelques chiffres clés sur les ruptures conventionnelles des cadres

 

Les données publiées par la DARES illustrent l’importance de la négociation :

  • En 2021, 454 000 ruptures conventionnelles ont été homologuées en France, en hausse de 6,1 % par rapport à 2020 (DARES).

  • Les cadres représentent 19 % de ces ruptures, contre 51 % pour les employés.

  • L’indemnité médiane :

    • 5 280 € pour les cadres, contre 1 000 € pour les employés.

    • Pour les cadres dirigeants, elle atteint 12 730 € tous niveaux d’ancienneté et 62 360 € pour ceux ayant plus de 10 ans d’ancienneté.

  • Rapportée à l’ancienneté, l’indemnité médiane est 0,30 mois de salaire par année pour les cadres, 0,31 mois pour les cadres dirigeants, contre 0,25 mois pour ouvriers et employés.

Ces chiffres confirment qu’une négociation bien conduite permet d’aller largement au-delà du minimum légal.

La santé des dirigeants : un enjeu sous-estimé

 

La pression économique et managériale se traduit aussi par une dégradation de la santé des cadres dirigeants :

  • En 2025, 1 dirigeant sur 3 est en mauvaise santé mentale (Bpifrance Le Lab).

  • Plus de 80 % déclarent souffrir d’au moins un trouble physique ou psychologique lié à leur activité.

  • Le burn-out touche plus d’un dirigeant sur deux, dont près de 10 % en situation critique.

Ces données confirment que la négociation de départ doit être envisagée comme un levier de protection personnelle et professionnelle.

L’approche de CeG Avocat : sécuriser et maximiser la négociation

 

Un départ mal négocié peut entraîner des pertes financières, une atteinte à l’image, et des contraintes excessives (clauses de non-concurrence, fiscalité).


La méthode CEG Avocat repose sur trois piliers :

Analyse du contrat et du contexte : clauses spécifiques, ancienneté, rémunération variable, risques contentieux.

Stratégie de négociation : évaluation du rapport de force, intégration des conventions collectives et de la jurisprudence.

Accompagnement humain : soutien pour transformer un départ subi en opportunité sécurisée et valorisante.

Grâce à la double compétence de Maître Emmanuel Gautret, le cabinet sait à la fois défendre les droits du dirigeant et anticiper les arguments de l’employeur.

Dans une économie instable, la négociation de départ des cadres dirigeants est devenue un moment clé et stratégique.

Pour en savoir plus, découvrez l’accompagnement complet proposé par CeG Avocat.